L'écueil de l'austérité n'est seulement - parfois - que la difficulté d'une appréhension de soi.


Au premier abord la froideur. Et puis - mignonne allons voir si la rose- on s'ouvre. Finalement. Pas de jeux de mots érotique pour cette fois, je parle seulement des préjugés aliénés à la vue de la personne austère.
Pédante, péteuse, tout ce que l'on veut, celle qui ne sourit pas. Alors pas du tout. Qui sautille sur son propre piédestal, en compensées vernies et qui ne regarde qu'en baissant les yeux - aux vues de ses airs supérieurs.

C'est dommage, parce qu'elle ne relève pas les yeux, au contraire. Méfiez-vous des grandes glaçées. Parce que c'est l'approche hésitante qu'elles ont du monde qui leur blinde chaque parois du coeur.













Freja, comble austère. Doit sûrement être une nana sympa.







créditphoto©FGR

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